Crédits : Pieter Van Marion
Devant la multiplication des scandales liés à l’impact sanitaire dévastateur des pesticides, cet amendement de bon sens permettra de limiter les risques de contamination par inhalation de ces produits chimiques à hauts risques pour la santé humaine, déjà largement présents dans notre alimentation.
Très loin de soustraire à l’agriculture la moitié des surfaces qui lui est actuellement réservée, ce que tentent de faire croire certains lobbys agricoles, cette mesure contribuera en revanche à réduire l’utilisation de pesticides et l’exposition de la population habitant proche des lieux de production.
C’est pourquoi il est de la responsabilité de nos élus de s’opposer au retrait de cet amendement, en dépit des pressions inverses.
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